3 avril 2013
Liberté d'écrire
J’ai mis toute ma fortune dans des mots mariés sans le consentement de monsieur le Maire ni la bénédiction de monsieur le Curé, pour qu’ils engendrent des phrases, qui à leur tour donnent des lignes et des textes, et constituent mon autre famille, celle que Jean-Paul Gide et André Sartre haïraient.
K.R.
Publicité
Publicité
Commentaires