18 décembre 2012
Le baiser de l'ange
Sur mon parchemin déplié, tes longs baisers
D’une écriture joliment calligraphiée
Ont déposé, quand la très fine peau s’étirait
Pour la saveur de ton admirable toucher,
Cette épitaphe gravée pour l’éternité:
« A Moi tu appartiens, tu es mon possédé
Ma bouche méphistophélique où tu t’es laissé
Aller a tué ta chance d’une autre aimer. »
K. R.
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